« Cette Nouvelle Série de France 2 Va Vous Tenir en Haleine Comme Jamais! »

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By Robert MICHAUD

France 2 diffuse la série à suspense « Follow »

La nouvelle mini-série de France 2, « Follow », plonge les téléspectateurs dans une traque haletante à travers Paris. Débutée le 9 septembre, elle mêle réseaux sociaux et enquête policière pour un thriller captivant.

Un concept prometteur

Une héroïne atypique

Léna Martinet, interprétée par Marie Colomb, est au centre de l’intrigue. Recrutée comme community manager à la préfecture de police de Paris, elle se retrouve rapidement impliquée dans une enquête sur un tueur en série surnommé « Justice75 ». Ce dernier utilise les réseaux sociaux pour manipuler ses victimes et exposer leurs morts morbides en ligne.

Des influences contemporaines

S’inspirant vaguement d’histoires vraies et de figures notoires telles que Guy Georges ou le Zodiac Killer, la scénariste Victoire d’Aboville a voulu insérer ces éléments effrayants dans un cadre moderne où tout se joue via Internet (source).

Le Jeu du Chat et de la Souris

Lena face au Tueur

Lena reçoit des messages angoissants du meurtrier directement sur le compte Instagram officiel qu’elle gère. Entre provocations perverses et indices cryptiques laissés intentionnellement par le tueur (qui coupe notamment les pouces de ses victimes), Lena doit décrypter ce jeu malsain avant que cela ne tourne mal (source).

Une dynamique relationnelle complexe

Marie Colomb décrit son personnage comme étant pugnace mais fragile : « Léna est une fille assez fermée […] même si la vie l’a cabossée » (source). Harcelée également par un ancien petit ami envahissant nommé Bastien, Léna semble être constamment sur le fil du rasoir entre danger extérieur et tensions internes issues de sa propre vie privée (source).

Réalisation soignée

L’atmosphère visuelle unique

Le réalisateur Louis Farge crée avec brio une ambiance oppressante qui fait écho aux meilleurs thrillers scandinaves ou encore aux œuvres sombres comme Le Silence des Agneaux ou celles réalisées par David Fincher. La capitale française y apparaît froide et inhospitalière sous un ciel bas hivernal avec des éclairages bleutés souvent glauques provenant des écrans informatiques (source).

Détails intrigants

Certaines scènes marquantes montrent régulièrement Lena descendant avec appréhension les escaliers serpentins du métro parisien tandis que les lieux clos deviennent ici métaphores étouffantes des dangers virtuels omniprésents autour d’elle (sources).

Accueil critique

La performance notable donnée depuis lors parle fort quant aussi bien vu soulignent critiques diversifiés plusieurs médias accueillent favorablement certaines configurations nerveuses & structurales formes variées proposées: suspense tranchant sans ombre temps mort »